Vous avez été informé par le Haut Parleur de l’arrivée de « migrants » à Montmorency. (1)
Vous vous interrogez sur les conditions de cet accueil !
Le Haut Parleur a soulevé les neuf questions suivantes :
- Combien de familles sont concernés?
- Comment les accueillir ?
- Comment les former ?
- Comment scolariser les enfants ?
- Comment les intégrer ?
- Comment leur trouver un emploi ?
- Sur quelle durée ? et après pour ces familles au delà de cette période d’examen ?
- Sur quelle période les locaux de l’Hopital seront utilisés comme centre d’accueil?
et, enfin - Comment financer l’opération ?
La Maire de Montmorency, Michèle Berthy et son équipe n’ont voulu répondre à aucune de ces questions.
« Philippe Borderie, conseiller municipal (UDI) à la tête du groupe » Montmorency indépendant », réclame à Madame Michèle Berthy (« Les Républicains ») un conseil municipal extraordinaire sur l’arrivée des réfugiés à l’hopital Simone VEIL . »
Quoi de plus légitime d’un élu de répondre aux Montmorencéens et Montmorencéennes !
Ce sont les bases de la démocratie !
et non celles de la « démocratie autoritaire » affichée par
Madame Michèle Berthy,
Le Haut Parleur vous propose de participer à ce sondage, qui devrait permettre à Madame Michèle Berthy, Maire de Montmorency, et Vice-Présidente du Conseil Départemental, de prendre en compte la réalité, celle qui refuse d’entendre, de voir et d’écouter.
Voici le sondage totalement anonyme , qui respecte les lois de déontologie et de confidentialité ( Loi n° 77-808 du 19 juillet 1977 ) , nous ne prendrons pas l’identité de la plaque de votre véhicule .. voir ( ici )
C’est à vous, vous êtes contribuables à Montmorency, vous payez vos impôts en France,
exprimez vous maintenant ….
Merci
Madame Michèle Berthy, Maire de Monmorency, Vice Présidente du Conseil Départementale, lisez la suite, et répondez:
Le coût au quotidien d’un demandeur d’asile.
La Cour des comptes chiffre à 13 724 euros le coût par demandeur d’asile, et un peu plus de 5 500 euros pour un débouté, tout en indiquant que « malgré l’obligation de quitter le territoire français qui leur est notifiée, seuls 1% des déboutés sont effectivement éloignés », la majorité restant « en situation irrégulière en France. » Dans ses recommandations, la Cour des comptes préconisait notamment de « réduire le montant des allocations mensuelles versées aux demandeurs d’asile.
François Hollande ne change rien aux allocations et accorde 1000 Euros par demandeur d’asile …
Cherchez l’erreur !
Un migrant qui se dit persécuté dans son pays et qui fait une demande d’asile touche une allocation temporaire d’attente (ATA) de 11 euros par jour pendant un à deux ans en moyenne, soit le temps que l’OFPRA statue sur son sort. « Seuls les adultes devraient peuvent en bénéficier » ( comptez aussi 2 adultes par famille , et en plus les allocations pour enfants)
Une fois que les demandeurs d’asile sont hébergés dans un CADA, l’ATA est remplacée par une allocation mensuelle de subsistance (AMS) », d’un montant compris entre 91 et 718 euros, « Si le demandeur justifie une présence d’au moins 3 mois sur le territoire, il a le droit à la CMU et une réduction sur les transports de 75 %.. Dans l’attente de l’instruction de son dossier, le demandeur ne peut pas travailler (sauf dérogation spéciale) mais à le devoir de scolariser ses enfants, dont il ne privera pas.
Une fois leur demande d’asile acceptée par l’OFPRA, les réfugiés ont les mêmes droits qu’un Français, c’est-à-dire qu’ils peuvent travailler, être éligibles aux HLM, etc.. Par ailleurs, les réfugiés, bénéficiaires de la protection subsidiaire et les apatrides peuvent toucher le RSA sans délai. Pour les autres, il faut obligatoirement un titre de séjour permettant de travailler depuis au moins cinq ans. D’après les chiffres de la Caisse d’allocations familiales (CAF), 190 000 étrangers extra européens ont touché l’an dernier le « RSA socle », soit un peu plus de 13 % de l’ensemble des bénéficiaires.
Le rapport alarmant de la Cour des comptes
En avril dernier, un rapport de la Cour des comptes indiquait que la politique d’asile de la France ne serait « pas soutenable à court terme » avec un coût avoisinant les 2 milliards d’euros par an. Les magistrats estiment même qu’elle est « au bord de l’embolie ». Selon le document, « la politique d’asile est devenue la principale source d’arrivée d’immigrants clandestins en France. »
La Cour des comptes chiffre à 13 724 euros le coût par demandeur d’asile, et un peu plus de 5 500 euros pour un débouté, tout en indiquant que « malgré l’obligation de quitter le territoire français qui leur est notifiée, seuls 1% des déboutés sont effectivement éloignés », la majorité restant « en situation irrégulière en France. » Dans ses recommandations, la Cour des comptes préconisait notamment de « réduire le montant des allocations mensuelles versées aux demandeurs d’asile.
Gracieusement, François Hollande accorde 1000 Euros … par demandeur d’asile.
(1)
https://lehautparleur.net/2015/09/08/un-centre-pour-refugies-a-montmorency/
https://lehautparleur.net/2015/09/09/montmorency-les-migrants/
https://lehautparleur.net/2015/09/11/immigration-en-9-questions/